Ça fera une semaine depuis que la CENI a publié les faux résultats provisoires mais elle est incapable de les mettre dans son site internet.
La CENI serait sûrement en train de manipuler les chiffres pour justifier les pourcentages qu’elle a donnés à chaque candidat président de la République mais seulement, en amateur, elle ne savait pas qu’il est plus difficile et coûteux de réhabiliter une maison que de la construire.
De ce qui précède, elle ne sait pas quoi faire, et le même travail serait sûrement en train d’être fait pour les législatives et municipales. Voilà la raison du report sine die de la publication de ces trois élections.
Il faut signaler d’abord que la CENI a promis de rendre public le résultat bureau par bureau mais à la place, elle a publié les tendances qui d’ailleurs n’était jamais à plus de 50% par circonscription. De ce fait, pas vérifiable par le peuple qui n’a pas voté dans une circonscription mais plutôt dans un bureau.
Le forcing n’a pas réussi, cela a amené la violation de la constitution et les lois du pays en organisant les élections pendant 7 jours et surtout en atteignant que 75% des bureaux prévus avec moins de 10% des bureaux le jour légal et unique des élections donc le 20 décembre 2023. Maintenant la tricherie aussi ne réussit pas parce que le peuple est très éveillé, attend la publication bureau par bureau et surtout est prêt à appliquer l’article 64 de la constitution pour mettre hors d’état de nuire ce groupe d’individus qui veut prendre le pouvoir en violation de la constitution.
Nous entamons maintenant la partie la plus intéressante de l’histoire de ce régime qui est né de la plus grande tricherie électorale de l’histoire de notre pays, sa décadence.
Patrick CIVAVA.