Le gouvernement congolais, à travers son porte-parole Patrick Muyaya, réfute catégoriquement les allégations portées par l’ONG Human Rights Watch le mardi 22 août, dénonçant des violations des droits humains et une prétendue répression à l’encontre de l’opposition politique.
“La RDC récuse de manière catégorique les allégations de restriction des libertés fondamentales, d’arrestations arbitraires et d’intimidation”, lit-on dans ce document.
D’après Patrick Muyaya, “le Gouvernement accorde une valeur primordiale à la protection des droits humains et aux idéaux démocratiques qu’ils incarnent. La date prévue des élections, fixée au 20 décembre, symbolise notre détermination à garantir des processus électoraux exempts de toute opacité, caractérisés par leur impartialité”, a-t-il expliqué.
Et d’ajouter : “Le prétendu ciblage de l’opposition politique, mis en avant avec insistance par Human Rights Watch, se heurte aux faits concrets. Les mesures prises par les autorités visent à maintenir l’ordre public, à préserver la sécurité des citoyens et à prévenir toute manifestation de violence”.
Par ailleurs, il invite les responsables de cette organisation à venir échanger avec les autorités dans un esprit de collaboration constructive. “Le partage d’informations permettra de rassurer sur les préoccupations et de renforcer les efforts communs en faveur de la démocratie et des droits fondamentaux”.
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