Le bureau du comptable de la Direction Nationale de Contrôle et de la Paie des Enseignants (DINACOPE), Monsieur Kapinga Badibanga, a été scellé par Jules Alingete, Inspecteur Général des Finances (IGF), en raison de circonstances controversées. Ces événements découlent d’une série de tensions croissantes entre le personnel de la DINACOPE et les inspecteurs de l’IGF.
La situation a atteint un point critique lorsque Monsieur Kapinga Badibanga a entrepris des actions en justice contre trois inspecteurs de l’IGF, les accusant d’extorsion d’argent le 31 janvier dernier. Cependant, au lieu de coopérer avec les autorités judiciaires, ces inspecteurs ont décidé d’adopter des mesures radicales contre le comptable.
Le mercredi 07 février, les mêmes inspecteurs ont tenté de forcer Monsieur Badibanga à quitter son bureau sous de faux prétextes, prétextant sa fuite imminente. Heureusement, Jules Alingete est intervenu pour empêcher cette manœuvre et a scellé le bureau du comptable, affirmant que les actions des inspecteurs relevaient d’un règlement de comptes plutôt que d’une véritable enquête.
Cette situation soulève des questions fondamentales sur la légitimité des actions des inspecteurs de l’IGF. Comment peuvent-ils prétendre effectuer un contrôle impartial sur le comptable de la DINACOPE alors qu’ils font l’objet de poursuites judiciaires pour extorsion et violence à son encontre ? Les principes de justice et d’équité semblent compromis dans cette affaire, ce qui suscite des inquiétudes légitimes au sein de la communauté juridique.
Des experts juridiques ont souligné que seul un agent du parquet, sur instruction du magistrat instructeur, est habilité à sceller un bureau de l’État. L’initiative des inspecteurs de l’IGF constitue donc une violation flagrante de la loi, alimentant ainsi les suspicions de partialité et de motivations personnelles.
Face à ces événements troublants, la DINACOPE a exprimé sa crainte de représailles et a appelé à la mise en place d’une enquête mixte pour faire toute la lumière sur cette affaire. Il est impératif de dissiper les soupçons de diabolisation et d’acharnement à l’égard de la DINACOPE, afin de rétablir la confiance et l’intégrité au sein de cette institution cruciale pour l’éducation nationale.
Cette situation souligne l’importance de garantir l’indépendance et l’impartialité des organismes de contrôle, ainsi que le respect scrupuleux des procédures légales, afin d’éviter toute dérive vers l’arbitraire et l’injustice.
BREVE.CD
Tout ça le pouvoir UDPS, une médiocrité sans dire son nom. Que ça soit Jules Alingete ou Tony mwaba, une vérité, ils sont tous des detourneurs.
Des voleurs se disputent les butins du vol, Jules Alingete veut sa part et Tony mwaba refuse.
Las leopards ont porte des brassards noirs hier contrairement a l.information sir cette page
Chose étonnante, comment un Inspecteur de l’IGF peut scellé un local d’administration de l’Etat aussi longtemps, il ne pas a sa compétence