L’arrivée de l’inspecteur général Hubert Kimbonza à la tête de l’Inspection Générale de l’Éducation Nationale (IGEN) a insufflé un nouveau dynamisme à cet organisme essentiel pour le secteur éducatif.
Bien que certains ne lui donnaient pas une grande chance de réaliser les ambitions du président Félix Tshisekedi, notamment concernant la gratuité de l’enseignement de base, Hubert Kimbonza a réussi à s’imposer grâce à son expertise et à son engagement.
Aujourd’hui, l’IGEN sous l’impulsion de la Ministre d’Etat, Ministre de l’Education nationale et Nouvelle citoyenneté, Raissa Malu Dinanga, est un acteur clé de l’amélioration du système éducatif en RDC.
Ce succès n’a pas été accueilli sans résistance. Des détracteurs, à la recherche de prétextes pour ternir son image, ont tenté de dénigrer ses efforts en l’associant à des erreurs du passé, alors qu’il n’a pris ses fonctions qu’il y a seulement deux mois.
Contrairement à ce qui est insinué, Hubert Kimbonza n’a hérité d’aucun « passif » négatif. Au contraire, il a apporté des solutions concrètes et a redynamisé l’institution, notamment une gestion transparente.
Dès son arrivée, l’inspecteur Kimbonza a instauré un dialogue permanent avec ses collaborateurs, une approche saluée par tous les agents. Il a également mis en place une commission de travail, incluant toutes les strates de l’IGEN, pour résoudre les problèmes internes, notamment autour de la prime pour fonction spéciale. Cette initiative a renforcé la cohésion et la motivation au sein des équipes.
Aujourd’hui, Hubert Kimbonza incarne l’espoir pour un avenir éducatif meilleur en RDC. Ses efforts pour moderniser et apaiser les tensions internes à l’IGEN témoignent de sa volonté de contribuer positivement à l’amélioration du secteur éducatif et au bien-être des agents.
Ceux qui cherchent à le discréditer ne feront que perdre leur temps, car sa vision et son travail parlent d’eux-mêmes.
Dossier à suivre !