Devant la presse ce lundi, le Ministre de la Communication et médias est revenu sur plusieurs questions d’actualité dont la décision du déploiement des forces de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) en RDC.
Patrick Muyaya affirme que cette démarche des autorités congolaises est la conséquence de manque de résultat positif sur le terrain après le déploiement de la force régionale de l’EAC.
“L’idée c’est de travailler activement pour le retour de la paix en République Démocratique du Congo sur base de la réalité actuelle, du fait qu’on a pas eu beaucoup de progrès avec la force régionale [de l’EAC, Ndlr] et parce qu’au-delà de ça, il est prévu qu’il y ait des mécanismes sur lesquels le gouvernement va travailler pour s’assurer qu’il n’y a pas télescopage et que l’objectif final recherché à savoir le retour de la paix dans cette partie du pays soit atteint”, a indiqué Patrick Muyaya.
À lui de poursuivre : “Je pense que ce sera le mois prochain que la force en attente de la SADC va être activée, ce qui n’est pas à confondre avec les troupes de la SADC qui font partie de la FIB”, a-t-il dit.
Le porte-parole du gouvernement rappelle que contrairement à la force régionale de l’EAC, le mandat des troupes de la SADC sera offensif.
C’est en référence du communiqué final du sommet extraordinaire de la troïka des organes de la SADC rendu public ce lundi.
La Rédaction
C’est aujourd’hui que vous vous rendez compte que l’EAC ne peut pas apporter une solution au problème de sécurité à l’EST ? Quand nous vous avons alerté il y a plus de 8 mois vous avez jugez bon de nous arrêter et nous intimidé . Aujourd’hui vous vous rendez compte que vous n’avez pas raison. Même les forces de la SADC n’apporteront pas une solution à cette crise. Il faut que l’homme politique congolais change sa manière de gérer Kinshasa doit gérer le pays comme un bon père de famille pas comme un chef de l’Union sacrée qui est devenu un refuge de tous les criminels économique et politique. Réduisez le train de vie des institutions, formé une armée professionnelle, sanctionner les fonctionnaires de l’état qui vol et pillent le pays.